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Caitlin Clark va devenir la basketteuse la mieux payée avant son premier match grâce à Nike

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Depuis la draft de la WNBA, Caitlin Clark est devenue la nouvelle star dans le monde du basketball professionnel féminin. Elle a notamment brillé durant sa carrière universitaire avec les Hawkeyes de l’Iowa, avec lesquelles la jeune meneuse de 22 ans est entrée dans l’histoire en devenant la meilleure marqueuse de la NCAA, homme et femme confondus. Une prestation qui n’est pas passée inaperçue du côté des équipementiers.

Caitlin Clark : le nouveau visage de la WNBA

Après avoir mené les Hawkeyes de l’Iowa à un titre NCAA la saison dernière, devenant au passage la meilleure marqueuse de l’histoire du basket universitaire américain, Caitlin Clark est devenue un symbole de la renaissance du basket féminin aux États-Unis. C’est donc sans surprise qu’elle est sélectionnée en première position de la dernière Draft de la WNBA, recrutée par le Fever d’Indiana.

Pourtant, sa sélection par le Fever d’Indiana a une fois encore mis en avant un sujet d’intérêt majeur qui touche le monde du sport professionnel féminin dans son ensemble : le gap salarial entre les hommes et les femmes. Et quel écart : Pour les quatre saisons à venir au sein du Fever d’Indiana, celle qui incarne désormais le nouveau visage de la WNBA touchera un salaire total de 338 056 dollars.

En comparaison, Victor Wembanyama a lui obtenu un contrat de 55 millions de dollars sur quatre ans également pour ses premiers pas en NBA avec les Spurs de San Antonio, soit 162 fois plus que Caitlin Clark. Un écart qui a fait beaucoup réagir sur les réseaux sociaux et dans les journaux sportifs, spécialement aux USA. L’arrivée de Nike dans la discussion a néanmoins changé la donne.

Un partenariat à 28 millions de dollars

Les férus de sport savent que les contrats de partenariat avec les équipementiers pèsent énormément dans la balance, lorsqu’il s’agit de revenu annuel des sportifs les plus célèbres. Caitlin Clark n’échappera pas à la règle, et c’est tant mieux ! Puisqu’elle incarnera la nouvelle génération de joueuse en WNBA, de nombreuses marques se sont bousculées à sa porte pour lui proposer des contrats de partenariats. Adidas, Puma et Under Armour ont tenté leur chance, mais c’est finalement le géant américain Nike qui a (encore) remporté la course et a signé la jeune meneuse pour un contrat de partenariat sur huit ans d’une valeur de 28 millions de dollars.

Avec cette somme, Caitlin Clarks devient la joueuse la mieux payée de l’histoire de la WNBA (avec un salaire de 3 millions de dollars annuel), à quelques semaines de ses premiers pas sur les parquets pros. À titre comparatif, le salaire le plus élevé en WNBA était jusque-là de 250 000 dollars par an.

Pour beaucoup, ce deal fait honneur au talent et au leadership de la joueuse originaire de l’Iowa. En détail, l’équipementier Nike serait en plein développement d’une ligne de sneaker estampillée « Caitlin Clarks », et qui sortira prochainement. Elle rejoindra ainsi d’autres stars de la WNBA qui ont leurs propres modèles de chaussures : Breanna Stewart, Candace Parker, Sabrina Ionescu, Elena Delle Donne.

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Les classements complets des groupes du tour principal de l’Euro handball 2024

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L’Euro de Handball féminin va bientôt entrer dans sa phase finale. Les Bleues, toujours invaincues dans cette compétition en remportant 6 matchs sur 6 – y compris ceux du tour préliminaire-, ont l’occasion de poursuivre sa belle série en allant chercher une victoire face à la Hongrie, pays hôte et leader actuel du groupe I. Dans l’autre groupe II, la Norvège fait aussi sensation avec 4 victoires en autant de rencontres dans ce tour principal. Retrouvez actuellement les classements complets des groupes de cet Euro de handball féminin 2024.

La France deuxième du groupe I

À l’issue du tour préliminaire de cet Euro de handball féminin 2024, 12 nations se battent pour obtenir les places pour les demi-finales de la compétition. Ces 12 sélections ont par la suite été réparties en deux groupes de 6, avec dans le groupe I la France, la Hongrie (pays hôte), le Monténégro, la Suède, la Pologne et la Roumanie.

Dans le groupe II, on retrouve la Norvège, le Danemark, les Pays-Bas, la Slovénie, l’Allemagne et la Suisse. Rappelons que dans ce tour principal, seules les deux premières nations de chaque groupe se qualifieront directement pour les demi-finales de la compétition, tandis que celles ayant terminé à la troisième place s’affronteront pour un match de classement pour les 5e et 6e places. Après un marathon victorieux de 3 rencontres face à la Roumanie, le Monténégro et la Suède, la France occupe actuellement la deuxième place du groupe I. Une position défavorable, puisqu’en l’état des choses, les Bleues devraient affronter en demi-finale les Norvégiennes, championnes olympiques en titre et nonuples championnes d’Europe.

L’objectif est donc clair pour Sébastien Gardillou et ses joueuses : battre la Hongrie dans le dernier match de ce mardi 10 décembre pour récupérer la première place du groupe I et éviter ainsi un trop gros morceau à l’entame de ces phases finales.

Les classements dans les deux groupes

Ainsi donc, bien qu’à égalité de points avec la France après quatre matchs dans ce tour préliminaire, c’est bien la Hongrie qui occupe la première place du groupe I, grâce à un meilleur goal average : +31 pour la Hongrie, +30 pour la France. Derrière, le Monténégro semble bien partie pour finir la compétition à la troisième place avec ses 4 points, suivis de près par la Roumanie et la Suède, respectivement 4e et 5e avec 2 points chacun. En revanche, la Pologne est bon dernière avec 0 victoire et donc 0 point.

Dans le groupe II, ce sont les Championnes olympiques en titre les Norvégiennes qui mènent la danse avec 8 points, signant elles aussi un sans-faute avec 4 victoires en 4 rencontres. L’autre pays nordique qu’est le Danemark occupe provisoirement la seconde place, à égalité de points avec les Pays-Bas avec 6 points chacun. On retrouve ensuite la Slovénie et l’Allemagne, toutes deux à 2 points et respectivement 4e et 5e. Pour finir, tout comme la Pologne, la Suisse n’a toujours pas marqué de points dans ce tour principal et occupe la 6e et dernière place du groupe II.

Les derniers matchs du groupe I se joueront ce mardi 10 décembre, tandis que ceux du groupe II se tiennent ce mercredi 11 décembre.

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Euro handball Féminin : L’équipe de France  se qualifie pour les demi-finales

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Les Bleues sont en demi-finale de l’Euro de handball féminin 2024. Le remake de la demi-finale des JO de Paris 2024 opposant la France et la Suède a ainsi tourné en faveur de Sébastien Gardillou et son équipe, avec une victoire 31-27. Cette troisième victoire de suite dans le tour principal permet à l’équipe de France de sécuriser sa qualification pour les phases finales de la compétition. Retour sur la belle épopée en cours des Bleues dans ce Championnat d’Europe de handball féminin 2024.

La France bat la Suède

Après avoir réalisé une excellente entame dans le tour préliminaire de ce Championnat d’Europe de handball féminin 2024 (en s’imposant tour à tour 30-25 face à la Roumanie puis 31-23 face au Monténégro), la France signe une troisième victoire d’affiler. En effet, ce dimanche 8 décembre à Debrecen en Hongrie, les joueuses de Sébastien Gardillou ont remporté leur troisième match, cette fois au détriment de la Suède 31-27. Une performance qui leur permet de sécuriser leur place en demi-finale de la compétition, avant même d’affronter le pays hôte qu’est la Hongrie ce mardi 10 décembre.

Bien qu’un match nul aurait suffi, et que les premières minutes ont été laborieuses, la France a petit à petit dominé les débats, bien aidée par sa gardienne de but Laura Glauser et ses 10 arrêts. Estelle Nze Minko, Chloé Valentini et Lucie Granier entre autres ont participé à cette victoire de la France sur la Suède, signant au passage une très belle série de 6 victoires en autant de matchs depuis la phase du tour préliminaire.

Un dernier gros morceau à passer

Au-delà de cette très belle série en cours et de la solidité défensive et offensive durant ce match face à la Suède, la France enregistre une autre série qui montre la continuité et le niveau de sa sélection féminine de handball. Avec cette place acquise en demi-finale, les Bleues atteignent pour la cinquième fois d’affiler le dernier carré du Championnat d’Europe, après 2016, 2018, 2020 et 2022. « Tout le monde pense que c’est facile, car on est l’équipe de France, mais il y a beaucoup de chemin à parcourir avant tout ça », explique la demi-centre Tamara Horacek en interview post-match.

Et du chemin, il en reste encore pour les vice-championnes olympiques en titre. En effet, le dernier match des Bleues dans ce tour principal de l’Euro se fera face à la Hongrie, pays hôte de la compétition avec la Suisse. Les Hongroises ont, elles aussi, gagné leur place pour le dernier carré final en remportant 37-29 leur rencontre face à la Roumanie. Pour Sébastien Gardillou et ses joueuses, la victoire est primordiale afin d’obtenir la première place du groupe I, tenue actuellement par les Hongroises à égalité de points (8) avec les Françaises – mais les Hongroises ont un léger avantage grâce à la différence de but (+31 pour la Hongrie, +30 pour la France)-.

Si la France parvient à s’emparer de cette première place, elle pourrait ainsi s’éviter la Norvège, nonuple championne d’Europe et Championne olympique en titre, dès les demi-finales de la compétition. Rendez-vous donc ce mardi pour la lutte entre la Hongrie et la France dans ce groupe I de ce tour principal du Championnat d’Europe de handball féminin.

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la Fifa envisage d’élargir la Coupe du monde féminine

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Au vu de l’engouement que connait actuellement le football féminin, on peut s’attendre à un développement des compétitions internationales. Les instances telles que la FIFA ou l’UEFA mettent les bouchées doubles pour soutenir la croissance du football, notamment en proposant de nouveaux formats pour certains rendez-vous mondialement suivis. Ainsi, la FIFA envisage d’élargir le format de la Coupe du Monde, passant de 32 à potentiellement 48 nations participantes.

Une nouvelle réforme

On se souvient tous de la « petite » révolution qu’a connue le monde du football féminin en 2023 avec le passage d’un format de 24 à 32 équipes participantes lors de la Coupe du Monde en Australie et en Nouvelle-Zélande. Fort du succès du nouveau format de la compétition, la FIFA envisagerait de refaire le coup pour les prochaines éditions, comme l’indique le journal The Athletic. Selon les informations révélées ce mercredi 4 décembre, la plus haute instance du football mondiale serait « ouverte » à une nouvelle refonte du format de la Coupe du Monde féminin, passant ainsi de 32 équipes participantes à 48.

Si ce projet vient à se concrétiser, alors le mondial féminin s’alignerait avec le nouveau format de l’édition masculine de 2026, qui se tiendra en Amérique du Nord – coorganisée par les États-Unis, le Canada et le Mexique. Plus tôt déjà dans l’année, Gianni Infantino avait déjà mentionné subtilement le sujet à l’occasion du Congrès de la FIFA qui s’est tenu à Bangkok, déclarant qu’il « travaillerait dessus ».

Pas avant 2031

Toujours selon le média américain, le projet serait en bonne voie d’être adopté, avec le soutien de plusieurs associations membres de la FIFA. « Plusieurs sources au courant de la réflexion de l’instance dirigeante, non autorisées à parler publiquement, ont informé The Athletic qu’elle (FIFA) était ouverte à la possibilité d’aligner le nombre d’équipes sur celui du tournoi masculin, qui a été porté à 48 pour la Coupe du monde 2026 aux États-Unis, au Canada et au Mexique », peut-on lire dans l’annonce faite par The Athletic.

Néanmoins, l’information doit encore se conjuguer au conditionnel puisque ce nouveau format ne pourra entrer en vigueur lors de la prochaine Coupe du Monde féminine de 2027 qui se tiendra au Brésil, et qui marquera la 10e édition de la compétition. Au plus tôt, cette Coupe du Monde féminine à 48 nations participantes pourrait voir le jour à l’occasion du Mondial 2031, dont l’organisation n’a pas encore été abordée par la FIFA. Les seules informations disponibles autour de ce prochain rendez-vous du football mondial féminin concernent la potentielle candidature conjointe des fédérations américaines et mexicaines pour accueillir l’événement.

De même, l’Angleterre ainsi que le Japon sont en bonne position pour présenter leur candidature et ainsi organiser ce Mondial de football féminin 2031 au format XL avec 48 nations participantes.

Avec ce nouveau format, la Coupe du Monde féminine pourrait voir son audience encore grimper, à l’instar du dernier mondial ou près de 2 millions de téléspectateurs ont suivi l’événement depuis les gradins des stades australiens et néozélandais, contre un peu plus de la moitié lors de la précédente édition de 2019 qui s’était tenue en France.

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