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Chelsea / FC Barcelone : après-match et réactions après la demi-finale aller de Women’s Champions League

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Chelsea recevait le FC Barcelone à Stamford Bridge ce samedi 22 avril dans le cadre de la demi-finale aller de Women’s Champions League. L’arbitre était Jana Adamkova. Découvrez dans cet article l’après-match ainsi que certaines réactions.

 

Chelsea et le FC Barcelona jouaient la première demi-finale de l’édition 2022/2023 de la UEFA Women’s Champions League. Le premier match se jouait en Angleterre, à Stamford Bridge. Dans une dynamique assez spectaculaire, les barcelonaises arrivaient pour ce choc en tant que grandes favorites.

 

La composition de Chelsea (442) : Berger – Perisset, Mjelde, Ericsson, Carter – Cuthbert, Cankovic, Leupolz, Charles – Kerr, Reiten.

La composition du FC Barcelone (433) : Sandra Panos – Bronze, Irene Hernandez, Mapi, Rolfo – Aitana Bonmati, Walsh, Patricia Guijarro – Hansen, Geyse, Salma.

 

Le FC Barcelona va rapidement allumer la clim et ouvrir le score dès la 4ème minute de jeu, par l’intermédiaire de Caroline Hansen. Elle marque du pied gauche, sur une passe décisive de Geyse Ferreira. Les barcelonaise vont continuer de poisser et se créer des occasions, notamment grâce à Geyse Ferreira, qui réalise un excellent début de match. De tout le match, les anglaises ne vont jamais réussir à tromper la défense adverse et à égaliser.

Ce match s’est donc terminé sur le score de 0-1 et le FC Barcelona prend un bel avantage pour la qualification en finale. Le match retour aura lieu au Spotify Camp Nou le jeudi 27 avril à 18h45. Alor que les catalanes devront tout faire pour garder cet avance, les Blues devront se montrer très offensives d’entrée afin de gagner ce match.

 

Les statistiques du match (Chelsea / FC Barcelone) : 

  • 30% de possession de balle à 70%
  • 6 tirs à 16.
  • 3 tirs cadrés à 6.
  • 7 centres à 25.
  • 3 centres réussis à 7.
  • 50 duels réussis à 48.
  • 12 duels aériens réussis à 13.
  • 5 dribbles réussis à 14.
  • 7 interceptions à 8.
  • 35 dégagements à 5.
  • 9 fautes à 4.

 

Les réactions d’après-match :

Caroline Graham Hansen : « Tous nos matchs à l’extérieur en Ligue des champions cette année ont été difficiles, et nous savions que ce ne serait pas une exception. Nous méritions ce résultat, Chelsea n’a pas eu trop de bonnes occasions, c’est juste dommage que nous ne soyons pas repartis avec quelques buts de plus. Ce n’était qu’un de ces moments où vous récupérez le ballon, tout va bien quand vous y allez et vous savez que ce sera un but. »

Emma Hayes : « Un mauvais départ. Un mauvais moment pour encaisser un but car on ne peut pas faire de cadeaux à cette époque, leur qualité, ils ont tellement de footballeurs exceptionnels. On s’attendait à ce qu’ils dominent le ballon, ce n’était pas une surprise. Mais bonne réponse, après les dix à 15 premières minutes de l’équipe. Il y a des choses que je vais regarder avec lesquelles nous devons nous améliorer. C’est 1-0, la rencontre n’est pas terminée. Je me souviens que c’était complètement terminé après 25 minutes [dans la finale 2021] mais c’est la meilleure équipe de football du monde et je ne peux rien demander de plus aux joueurs aujourd’hui. »

Jonatan Giráldez : « Je pense que nous avons fait un travail incroyable. Bien sûr, nous savions que c’était un match difficile. On sait qu’ils jouent longtemps, la deuxième balle, la transition. Nous les avons arrêtés plusieurs fois dans le jeu. Nous avons évité ces transitions, la deuxième balle. Nous avons eu de la patience avec le ballon, nous avons eu beaucoup d’occasions – nous aurions peut-être pu marquer plus de buts mais à la fin nous avons remporté la victoire et tout est ouvert pour le match retour. »

 

https://twitter.com/UWCL/status/1649785881123799042?s=20

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Dossier

la Fifa envisage d’élargir la Coupe du monde féminine

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Au vu de l’engouement que connait actuellement le football féminin, on peut s’attendre à un développement des compétitions internationales. Les instances telles que la FIFA ou l’UEFA mettent les bouchées doubles pour soutenir la croissance du football, notamment en proposant de nouveaux formats pour certains rendez-vous mondialement suivis. Ainsi, la FIFA envisage d’élargir le format de la Coupe du Monde, passant de 32 à potentiellement 48 nations participantes.

Une nouvelle réforme

On se souvient tous de la « petite » révolution qu’a connue le monde du football féminin en 2023 avec le passage d’un format de 24 à 32 équipes participantes lors de la Coupe du Monde en Australie et en Nouvelle-Zélande. Fort du succès du nouveau format de la compétition, la FIFA envisagerait de refaire le coup pour les prochaines éditions, comme l’indique le journal The Athletic. Selon les informations révélées ce mercredi 4 décembre, la plus haute instance du football mondiale serait « ouverte » à une nouvelle refonte du format de la Coupe du Monde féminin, passant ainsi de 32 équipes participantes à 48.

Si ce projet vient à se concrétiser, alors le mondial féminin s’alignerait avec le nouveau format de l’édition masculine de 2026, qui se tiendra en Amérique du Nord – coorganisée par les États-Unis, le Canada et le Mexique. Plus tôt déjà dans l’année, Gianni Infantino avait déjà mentionné subtilement le sujet à l’occasion du Congrès de la FIFA qui s’est tenu à Bangkok, déclarant qu’il « travaillerait dessus ».

Pas avant 2031

Toujours selon le média américain, le projet serait en bonne voie d’être adopté, avec le soutien de plusieurs associations membres de la FIFA. « Plusieurs sources au courant de la réflexion de l’instance dirigeante, non autorisées à parler publiquement, ont informé The Athletic qu’elle (FIFA) était ouverte à la possibilité d’aligner le nombre d’équipes sur celui du tournoi masculin, qui a été porté à 48 pour la Coupe du monde 2026 aux États-Unis, au Canada et au Mexique », peut-on lire dans l’annonce faite par The Athletic.

Néanmoins, l’information doit encore se conjuguer au conditionnel puisque ce nouveau format ne pourra entrer en vigueur lors de la prochaine Coupe du Monde féminine de 2027 qui se tiendra au Brésil, et qui marquera la 10e édition de la compétition. Au plus tôt, cette Coupe du Monde féminine à 48 nations participantes pourrait voir le jour à l’occasion du Mondial 2031, dont l’organisation n’a pas encore été abordée par la FIFA. Les seules informations disponibles autour de ce prochain rendez-vous du football mondial féminin concernent la potentielle candidature conjointe des fédérations américaines et mexicaines pour accueillir l’événement.

De même, l’Angleterre ainsi que le Japon sont en bonne position pour présenter leur candidature et ainsi organiser ce Mondial de football féminin 2031 au format XL avec 48 nations participantes.

Avec ce nouveau format, la Coupe du Monde féminine pourrait voir son audience encore grimper, à l’instar du dernier mondial ou près de 2 millions de téléspectateurs ont suivi l’événement depuis les gradins des stades australiens et néozélandais, contre un peu plus de la moitié lors de la précédente édition de 2019 qui s’était tenue en France.

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Dossier

Résultat France-Espagne

sport féminin

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La France a décidément trouvé sa bête noire, en concédant une nouvelle défaite face à l’Espagne, pour le compte de la quatrième et dernière journée de cette campagne de préparation. Au stade de l’Allianz Arena de Nice, les Bleues n’ont pas trouvé de solutions pour déstabiliser le collectif bien huilé des Championnes du monde en titre, et se sont logiquement inclinées 4-2. Mais il reste des bonnes choses à retenir de cette défaite.

Une fébrilité défensive

Les matchs se suivent et se ressemblent pour les Bleues. Face à de grandes équipes, l’équipe de France féminine de football semble toujours en difficulté et n’arrive pas à maintenir ses buts inviolés. Pour preuve, ce mardi 3 décembre pour le compte du dernier rassemblement de l’année, Wendie Renard et ses coéquipières ont concédé une lourde défaite 4-2 face à l’Espagne.

C’est la deuxième fois cette année que la Roja prend le meilleur sur les Bleues, après avoir remporté en début d’année la Ligue des Nations en s’imposant 2-0 face à la sélection tricolore. Dans ce « match retour », tout est partie très vite : 6e minute de jeu, ouverture du score par Aitana Bonmati 1-0 ; 23e minute, frappe de Claudia Pina pour le 2-0 ; 37e minute, but contre son camp de Vicki Becho pour le 2-1; reprise ratée de Sakina Karchaoui avant la pause. Au retour des vestiaires, c’est une nouvelle fois l’Espagne qui ouvre les hostilités avec une superbe reprise de Lucia Garcia à la 60e minute. Kadidiatou Diani parvient à réduire le score 11 minutes plus tard, permettant à la France de remonter à 3-2.

Alors que les Bleues avaient été requinquées par ce deuxième but, une main de Kenza Dali dans sa surface provoque un penalty en faveur des Championnes du monde en titre. Le penalty est transformé par Mariona Caldentey entérine la victoire des siennes dès la 81e minute ; score final 4-2.

Du bon et du moins bon

Malgré le score qui est plus que révélateur sur l’inefficacité des Bleues aussi bien sur le plan offensif que défensif, le sélectionneur Laurent Bonadéi a tenu à relativiser : « Comme lors du premier rassemblement [en octobre], c’est toujours mitigé de finir sur une défaite. Il va falloir s’améliorer d’un point de vue tactique ». Des améliorations tactiques qui devraient également s’accompagner d’une meilleure gestion, car, à l’instar de l’Espagne privée de plusieurs joueuses-cadres (Jenni Hermoso, Alexia Putellas, Salma Paralluelo, Irene Paredes), l’ancien adjoint d’Hervé Renard a lui aussi dû composer sans la présence de certaines joueuses expérimentées, pour ne citer qu’Eugénie Le Sommer (touchée au genou).

De même, la sortie sur blessure d’Estelle Cascarino à la 84e minute n’arrange pas les frais du sélectionneur. Néanmoins, les joueuses sont loin d’être démoralisées et ont conscience du progrès qu’il leur reste à faire avant d’entamer la nouvelle année. « C’était trop facile pour elles en première période. Il y a des réajustements à faire. Ce sont des matchs où l’on doit apprendre. Il faut continuer à travailler », confirme la capitaine Wendie Renard.

Après 2 victoires et 2 défaites lors des 4 dernières rencontres amicales, la France doit réagir et trouver la bonne formule avant d’entamer la Ligue des Nations à partir de février 2025, puis l’Euro durant le mois de juillet 2025.

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Dossier

France – Nigeria : le prochain match amical des bleus

sport féminin

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La France continue sa tournée de préparation en vue de la prochaine Ligue des Nations féminines de football. Ce samedi 30 novembre à 21h10, les Bleues vont affronter le Nigéria dans le cadre du troisième rendez-vous amical de cette trêve internationale. La rencontre se tiendra à Angers, au stade Raymond-Kopa, et sera l’avant-dernière occasion pour Laurent Bonadei et ses joueuses de régler la mire avant d’entrer en lice dans la compétition, en février prochain.

L’avant-dernière répétition

La France accueillera donc la sélection nationale féminine du Nigéria pour une confrontation en match amical ce samedi 30 novembre 2024, au stade Raymond-Kopa à Angers. C’est la quatrième fois que les deux nations se rencontrent, après les matchs de 2001, de 2018 et 2019. Les Bleues s’étaient toujours imposées face aux Nigérianes, mais ne devront pas baisser la garde pour autant. En effet, la France vient de se faire surprendre par la Suisse lors du précédent match amical, battu 2-1.

Une défaite qui montre que rien n’est joué et rien n’est donné pour acquis pour Wendie Renard et ses coéquipières, et ce, même face à une équipe moins bien classée au rang FIFA (France 10e, Nigéria 36e et première nation africaine). Bien plus qu’un simple match de préparation, cette confrontation avec le Nigéria sera l’occasion pour Laurent Bonadei de permettre le retour de certaines joueuses cadres de l’équipe nationale, notamment Marie-Antoinette Katoto, qui avait déclaré forfait en octobre.

Selma Bacha, Amel Majri ou encore Sakina Karchaoui font également leur retour en sélection, au contraire de Kelly Gago et Cindy Caputo qui ne sont pas retenues et retrouveront l’effectif U23.

Un groupe élargi

Pour ce match face au Nigéria, Laurent Bonadei opte pour un groupe de joueuse beaucoup plus élargi, avec en tout 34 joueuses sélectionnées. Un choix tactique avec pour objectif de tester différentes formations durant les deux matchs amicaux restants, spécialement face à l’Espagne, Championne du monde en titre et bourreau des Bleues en finale de la précédente Ligue des Nations. « À la fin de ces deux rassemblements, j’aurais un aperçu large sur 34 joueuses ce qui me permettra, en vue de la Ligue des Nations en février, de faire les meilleurs choix possible », déclare le sélectionneur français au moment de dévoiler la liste des joueuses sélectionnées.

Toutefois, quelques interrogations se posent, notamment au sujet de la sélection de Griege Mbock et Élisa de Almeida, les deux joueuses du Paris Saint Germain. En effet, toutes deux sont bien présentes dans la liste des convoquées pour ces deux rassemblements, bien qu’elles soient absentes de l’effectif parisien en raison de blessures. « Il y a très peu de chance qu’elles participent aux matches. Mais je souhaitais les mettre dans la liste pour pouvoir m’entretenir avec elles (…) et il est possible qu’elles participent à un bout de stage. Elles avaient déjà raté le premier et je ne veux pas qu’elles prennent trop de retard sur ces deux stages qui sont les fondations du projet », affirme Laurent Bonadei.

Une fois cette campagne de préparation terminée, la France jouera la Ligue des Nations de février à juin, puis enchainera directement avec l’Euro 2025 en Suisse, lors du mois de juillet.

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