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L’Équipe de France féminine de fustal va faire ses débuts sur la scène internationale ce soir

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C’est un jour historique pour le futsal féminin français. En effet, l’Équipe de France féminine de fustal va faire ses débuts sur la scène internationale ce soir en affrontant la Finlande. Les Bleues voudront débuter cette grande aventure avec une victoire.

 

Un grand moment aura lieu pour le futsal féminin français ce soir. Comme évoqué ci-dessus, l’Équipe de France féminine de fustal va faire ses débuts sur la scène internationale ce soir et affronte la Finlande, à 21h00. Pierre-Étienne Demillier est le coach de la première équipe de France féminine de futsal, son adjointe est Émilie Trimoreau et David Merlet est en charge des gardiennes de but. Leur travail débute officiellement ce soir. Comme le rapporte la FFF, deux séances d’entraînement étaient programmées ce lundi pour mettre en place les automatismes d’une sélection qui en manquera sans doute forcément un peu au début, ce qui est plus que logique. Le staff a optimisé le peu de temps de préparation pour multiplier le travail vidéo et veillé à mettre les joueuses dans les meilleures conditions afin d’aborder cette première confrontation face aux Finlandaises y compris l’aspect émotionnel d’une rencontre particulière.

 

Ce sera un moment particulier pour Alexandra Atamaniuk , qui va de porter à nouveau le maillot de l’Équipe de France plus de 10 ans après avoir été championne du monde avec les U17. Elle s’est exprimé à ce sujet lors d’une interview pour la FFF. Découvrez certains de ses propos.

 

Comment aborder cette grande première ? 

« Avec beaucoup d’impatience. Je ne vous cache pas que j’ai énormément hâte d’y être. La journée va monter en puissance au niveau des émotions. Porter le maillot bleu c’est une grande fierté d’autant que j’ai eu la chance de le porter avec bonheur quand j’étais plus jeune en football. C’est des émotions indescriptibles, des moments uniques. »

 

Le début d’une nouvelle aventure :

« Tout à fait, c’est le début d’une aventure. On fait partie des pionnières de ce Futsal Féminin et on a envie d’y rester le plus longtemps possible. Les filles comme moi on est des compétitrices, on a envie d’aller le plus loin possible. A court terme c’est déjà de faire bonne figure pour ce premier match contre la Finlande. On aura l’occasion de pouvoir corriger sur le deuxième match mercredi à Montaigu (contre la Finlande également à 19h00). Moi, si je joue, c’est pour gagner c’est pas autre chose. Maintenant, on sait pertinemment qu’on part de très loin, on vient juste de créer cette Equipe de Futsal donc ca va prendre du temps. On est encore loin du premier tour de qualification à l’Euro au printemps prochain. Mais à terme oui, on aura pour objectif de se qualifier pour un championnat d’Europe, et pourquoi pas plus car, on sait que récemment la FIFA a annoncé la création d’une Coupe du Monde féminine. Ce sont des objectifs à plus ou moins long terme. Mais d’abord commencer à nous construire. »

 

Sa sélection avec cette équipe :

« J’étais en train de faire la sieste quand la liste est sortie. Je fais régulièrement la sieste avant d’aller à l’entraînement dans mon club. Mon téléphone vibrait constamment et le premier message que j’ai ouvert provenait d’un ami du Stade Brestois qui m’a annoncé que j’étais sélectionnée. J’ai ressenti une grande grande joie, une immense fierté et beaucoup d’émotions sur le coup. On ne s’attend jamais vraiment à être sélectionnée, c’est toujours un honneur, mais j’étais déterminée pour être dans cette liste et je suis vraiment heureuse aujourd’hui. Les efforts paient. Je n’ai jamais lâché. Je n’ai pas toujours fait les choix qui m’auraient permis, à une époque, de porter à nouveau ce maillot Bleu mais je me suis donné les moyens d’aller au plus haut niveau. C’est une petite récompense des efforts que j’ai pu produire ces dernières années. Les émotions en Equipe de France, ce sont des émotions que l’on ne retrouve pas ailleurs. »

 

Son parcours :

« J’ai découvert le futsal quand j’étais plus jeune dans mon club. Pendant la période hivernale on faisait des tournois de futsal. J’ai au la chance de côtoyer les sélections de jeunes en foot à onze. On en discute encore aujourd’hui avec les filles avec lesquelles on a remporté la Coupe du Monde U17 en 2011 ce sont des moments uniques. Certaines m’ont souhaité bonne chance et étaient très heureuses pour moi.  Après, je me suis pleinement investie dans le Futsal quand j’ai déménagé à Saint-Pierre et Miquelon. J’ai vraiment découvert le Futsal là bas car ils ont deux périodicités selon les saisons, une football et une futsal. J’ai pratiqué là bas avec les garçons et c’est vraiment là-bas que j’ai découvert cet amour de la discipline. Cela fait maintenant cinq ans que je pratique. Aujourd’hui je suis sur les deux sports Football et Futsal. Je suis en contrat fédéral au Stade Brestois, je vis du football et je pratique tous les jours du football et suis libérée deux entraînements par semaine pour m’entraîner avec les garçons du Stade Brestois Futsal. »

 

La seule joueuse du groupe à vivre du football :

« Je suis la seule parmi les quinze joueuses du groupe à vivre du football. C’est très enrichissant. Maintenant, leur parcours, je l’ai vécu aussi puisque je ne vis du football que depuis que je suis au Stade Brestois. Avant j’alternais soit les études soit mon métier. Je connais leur situation et c’est vraiment enrichissant d’être là. On a un groupe très mature, constitué de parcours différents et c’est vraiment plaisant d’être avec ces filles ici. On a beaucoup de temps de cohésion. On discute beaucoup, on échange, on essaie de se connaître. Nos parcours atypiques pour cette Equipe de France Féminine Futsal constitue une vraie richesse de ce point de vue là. »

 

L’état d’esprit de cette équipe ? 

« Ca se passe super bien. On essaie de se connaître. Le premier rassemblement on était trente donc on a échangé avec tout le monde mais on n’a pas pu approfondir. De ce côté-là comme sur le terrain on continue à apprendre, on vient de milieu divers je l’ai dit : il y a des joueuses qui découvrent le Futsal, d’autres sont dans la pratique depuis très longtemps. Connaître ses partenaires, le staff c’est très important surtout que là on a peu de temps. Quand vous avez quinze joueuses, connaitre les qualités et les habiletés de chacune n’est pas évident en si peu de temps. On crée des automatismes, une vie de groupe. On essaie au maximum d’intégrer le projet de jeu de l’Equipe de France partagé par l’ensemble des sélections Futsal. C’est très intense, ça demande beaucoup de concentration, d’investissement mais c’est un bonheur. »

 

Son objectif en lien avec le futsal ? 

« Mon objectif c’est vraiment d’être la plus performante sur les deux supports, c’est ce que le Stade Brestois me permet aujourd’hui : être performante et ne penser que Futsal et que Football. Je ne me fixe pas de limite. Après c’est sûr que sur le plan personnel avec cette Equipe de France de Futsal j’aimerais aller le plus haut possible. »

 

Déclarations via fff.fr.

 

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Futsal

L’Équipe de France féminine de futsal débute son parcours avec un match nul

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L’Équipe de France féminine de futsal faisait ses grands débuts sur la scène internationale hier et affrontait la Finlande à la Chapelle-sur-Erdre. Pour ce premier match historique, les Bleues ont réalisé un match nul.

 

C’était un jour histoire huer pour l’Équipe de France de futsal, qui effectuait ses grands débuts sur la scène internationale et qui jouait contre la Finlande à la Chapelle-sur-Erdre. À noter que cette rencontre s’est jouée à guichets fermés. Menées en première période, les Bleues vont montrer un meilleur visage lors de la second mi-temps. L’égalisation va arriver à la demi-heure de jeu, sur un corner de Caroline Nivet, Alexandra Atamaniuk envoie une frappe puissante, qui est déviée par Lena Jouan.

Pour ce premier match, l’Équipe de France réalise donc un match nul, 1-1. À noter que les Bleues joueront une seconde manche amicale aura lieu ce soir (19h00) au Pôle Maxime Bossis de Montaigu.

 

La réaction du coach :

Pierre-Étienne Demillier : « Je l’ai dit aux filles à la fin : ce nul à un goût de victoire car il était imprévu. La Finlande a 6 ans d’histoire derrière elles, des automatismes et des joueuses d’expérience tandis que nous sortons de notre première véritable semaine de travail. Cela s’est vu dans l’entame de match où nous avons beaucoup souffert mais les joueuses ont parfaitement réagi et sont loin d’avoir volé ce résultat. Leur état d’esprit, leur abnégation et leur envie m’ont beaucoup impressionné, même s’il reste beaucoup de choses à améliorer, notamment dans l’animation. »

 

Comment étaient les joueuses ?

« Dans l’état d’esprit, elles m’ont impressionné avec leur abnégation, le fait de vouloir se dépasser, d’aller chercher quelque chose. Un match nul ou une victoire, pour moi c’est pareil, c’est synonyme de victoire ce soir. Après il y a plein de choses à travailler mais on le savait déjà avant. Il faut que l’on travaille tout ce qui est animation offensive où l’on n’a pas réussi à être pertinent, sortir du pressing adverse où on a difficilement réussi. Ce sont deux points principaux que l’on peut ressortir mais il y en a d’autres. »

 

C’était également particulier pour le staff ? 

« Avec le staff, on essaye de les accompagner le mieux possible, de les mettre dans les meilleures conditions. Quand elles nous rendent cela sur le terrain on est super content mais le match nul, c’est elles. On est très contentes pour elles qui sont allées chercher ce résultat. »

 

Premier match et premier but :

« Je leur avais dit, il y aura le premier coup d’envoi, la première Marseillaise, le premier but, le premier résultat. Ce premier but, elles sont ravies, elles se sautent sur les autres. Au final, on ne sait vraiment pas qui a marqué, si c’est un csc, Alexandra ou Léna. Je crois qu’elles s’en moquent, elles étaient super contentes d’avoir marqué et de terminer par un match nul. »

 

Déclarations et photo via fff.fr et footfeminin.fr.

 

 

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Pierre-Étienne Demillier se livre avant les débuts de l’Équipe de France de futsal

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L’Équipe de France de futsal va faire ses grands débuts ce soir et affronter la Finlande. Le coachPierre-Étienne Demillier s’est exprimé avant les grands débuts des Bleues. Découvrez certains de ses propos.

 

Ce projet d’Équipe de France de futsal :

« Cela faisait quatre à cinq ans qu’il y avait un projet de metre en place une sélection féminine futsal. La mise en place a été longue mais c’est « normal ». Cela devient plus précis depuis quelques mois. Cela s’est accéléré avec la volonté de la FFF de lancer cette sélection. Le premier stage a eu lieu fin septembre. »

 

Son choix de devenir le sélectionneur :

« Je me suis positionné assez vite en disant que c’était un challenge qui m’intéressait. Si la FFF avait besoin de moi pour le relever, j’étais clairement prêt. Je m’estime développeur, pour apporter ma pierre à l’édifice, de bien faire naître cette sélection. J’ai tout de suite été candidat. Le fait de partir de zéro, peut-être que j’ai des qualités qui peuvent aider cette nouvelle sélection, tout simplement mais bien modestement. »

 

La sélections des premières joueuses : 

« Ce n’est pas simple. Il faut aller les compétitions qui existent, en premier lieu au niveau national, le challenge national féminin créé l’an passé par la FFF avec des compétitions dans les départements et dans les Ligues, puis un tour interligues et puis la finale nationale à 4 à Pont-Sainte-Maxence. La deuxième, c’était la Copa Coca Futsal qui a duré deux ans avec des finales régionales et une finale nationale où j’étais pour observer les joueuses. Il y a eu aussi le Mondial Futsal de Nantes qui a réuni 20 équipes dont 16 équipes françaises. Un tournoi très intéressant. La quatrième étape, c’était les Championnats de France Universitaires à Évry il y a un an et Valenciennes cette année. Je me suis déplacé sur les deux sites. »

« C’est riche, c’est un petit peu volontaire. Il n’y a pas défini de tranches d’âge ou de parcours spécifiques. Il y a des filles qui ont joué quelques fois au futsal l’an passé. D’autres qui font du futsal leur pratique et qui s’entraînent plusieurs fois par semaine. Ce n’est pas homogène et on s’apporte chacun nos particularités. Les filles le méritent. Elles n’ont pas découvert le futsal l’an passé. Elles méritent d’avoir une attention particulière, le coup de projecteur. On peut jouer au foot et au futsal en même temps au départ. Pour celles qui veulent jouer qu’au futsal, il y a des ligues assez performantes avec des championnats spécifiques. La porte est ouverte, la sélection n’est pas fermée. On n’est qu’aux prémices. Il y a encore des joueuses que l’on n’a pas vues et qui apparaîtront plus tard. »

 

La première liste pour ce premier match contre la Norvège :

« Il faut tenir compte des postes, des profils, des ententes entre les filles mais aussi parfois des coups. On se retrouve à partager, à demander à mon adjointe Émilie Trimoreau, à mon adjoint également entraîneur des gardiennes David Merlet leurs avis, comment il voit les choses. J’avais fait une première sélection en amont, je me nourris de la leur, et on essaye d’échanger et de finaliser pour arriver à la meilleure liste possible de 15 joueuses dont 3 gardiennes. Les sélections, c’est hyper complexe. Il y a plein de critères qui rentrent en ligne de compte. Bien évidemment la forme du moment, les prédispositions techniques, la compréhension tactique où l’on voit lors des séances la fille qui est capable d’assimiler ce qu’on lui demande. Il y a un projet de jeu des Équipes de France sur lequel on s’appuie. »

« On essaye de choisir les filles qui rentrent dans ce projet de jeu en plus de leurs qualités individuelles, techniques, athlétiques, tactiques…Il faut qu’elles soient capables de jouer dans un contexte parfois défavorable, de gérer leurs émotions. Ensuite, dans le projet de jeu, c’est de savoir à quelle place la joueuse peut être mise. Et il y a aussi les perspectives en se demandant si la joueuse dans un an, deux ans, est-ce que va s’entraîner correctement et être capable de passer le cap. Tout cela, c’est un amalgame, ce n’est pas une photographie à l’instant T. »

 

Pour jouer contre la Finlande et non une autre équipe ?

« On ne voulait pas taper dans le top5 avec l’Espagne, le Portugal, l’Ukraine, la Hongrie ou l’Italie. On ne voulait pas jouer une nation trop faible car on a envie d’apprendre très vite sans manquer de respect aux autres. On avait ciblé dix nations et par exemple, la Finlande a fait récemment un match nul en Italie (0-0), elle a fait une très bonne partie récemment contre l’Espagne (2-7). Cela fait partie des très bonnes nations intermédiaires depuis jouent depuis 3 à 4 ans. »

 

L’objectif des premiers matchs ?

« Donner une bonne image, montrer que l’on a une belle équipe. Après c’est travailler car c’est quand même l’objectif et préparer la suite. On aura une double confrontation en Slovénie, un tournoi en Serbie puis le tour de qualification au mois de mai. On vient emmagasiner de l’expérience, travailler. Il faudra être indulgent sur le premier match. On a six séances à 30 joueuses et 3 séances à Nantes. On essaiera de donner le meilleur possible mais cela sera loin d’être parfait. »

 

Propos recueillis à Clairefontaine, par Sébastien Duret et sur Futsal Zone, via footfeminin.fr.

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Pierre-Étienne Demillier est impatient de débuter avec la première équipe de France féminine de futsal

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Pierre-Étienne Demillier est le coach de la première équipe de France féminine de futsal. Il aura pour adjointe Émilie Trimoreau, David Merlet sera en charge des gardiennes de but. Cette semaine, les Bleues seront réunies pour le premier stage de leur histoire à partir de lundi au CNF Clairefontaine. C’est un moment que le coach attend avec une grande impatience. Découvrez certains de ses propos. 

 

La création de cette équipe de France de Futsal : 

« La création d’une Équipe de France féminine Futsal est un projet auquel la FFF réfléchissait depuis plusieurs années. Il fallait que les « planètes s’alignent » en quelque sorte, que les choses se mettent en place et soient prêtes. La saison dernière a été consacrée à l’observation des joueuses, sur les championnats régionaux, les tournois de clubs, tels que le Mondial de Nantes, les championnats de France universitaires, à Évry en 2022 et Valenciennes en 2023, sans oublier bien sûr la Copa Coca-Cola, disputée depuis deux ans, et le Challenge national féminin organisé par la FFF, dont la première édition s’est tenue cette année. On a constitué une base de données d’environ cent-cinquante joueuses, et on en a retenu trente pour ce stage, ça n’a pas été simple. »

 

Quels sont ses sentiments avant de débuter cette grande aventure ? 

« Je suis fier et forcément très motivé, j’ai une grosse envie de travailler, mon staff aussi. On forme une bonne équipe pour faire avancer les choses, pas nécessairement en termes de résultat mais sur l’idée de participer au développement de cette sélection, de lancer les choses proprement, sur de bonnes bases, de donner une belle image. J’ai hâte que ce rassemblement commence à Clairefontaine, d’écrire les premières pages. J’ai beaucoup de choses à dire aux joueuses, de messages à faire passer, sur les efforts à fournir, sur ce que l’on veut mettre en place, la structuration. Ces quatre jours vont être riches et denses. »

 

Quelles sont les ambitions ?

« Il y a beaucoup de bonnes joueuses en France, très volontaires et qui travaillent. Le niveau est très hétérogène. Certaines ont tutoyé le professionnalisme, la plupart sont salariées ou étudiantes. On sera ambitieux mais il faudra se montrer raisonnable au début. Dans un premier temps, on réunit donc trente joueuses, avec l’objectif de constituer très vite un groupe pour jouer un mois après nos deux premiers matches. On aurait aimé avoir un stage en juin dernier mais il n’a pas pu avoir lieu. On ne sera sans doute pas performant d’entrée, on essaiera de bien représenter la Fédération et de partir sur des bases saines en vue des éliminatoires de l’Euro 2025 en mai prochain. »

 

Comment progresser ?

« Nous avons un référent Futsal dans chaque région et aussi des collègues cadres techniques très sensibles à cette pratique dans les districts et les ligues sur lesquels on peut s’appuyer pour détecter les filles performantes et en rater le moins possible. Chez les universitaires, on trouve beaucoup de footballeuses, mais qui n’ont pas la spécificité Futsal. Elles peuvent pourquoi pas le devenir et être assez vite performantes. Tout est jeune, tout est nouveau, on peut travailler avec des joueuses sans expérience Futsal. Mais elles devront obligatoirement jouer au Futsal cette saison pour être sélectionnables ensuite. Elles ont un peu de temps pour s’organiser et trouver un club. Ensuite, si nous voulons que les filles travaillent bien, cela passera par la création de compétitions dans les ligues et districts, mais aussi progressivement un championnat de D1, une Coupe de France… C’est le sens de l’histoire. »

 

Déclarations via FFF.fr.

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