Connect with us

Basketball

Les matchs qui attendent l’équipe féminine de basket-ball pour les qualifications à l’Euro 2025

sport féminin

Publié

le

La France va bientôt participer aux qualifications pour l’Euro Basket féminin de 2025. Les phases de qualification se dérouleront du 9 novembre 2023 au 9 février 2024. Hormis les matchs de l’équipe féminine de basketball d’Israël qui ont été reportés, le calendrier n’a guère changé depuis sa présentation. Ainsi, pour les Bleues, deux matchs face à la Lettonie et l’Irlande sont au programme de ces qualifications pour l’EuroBasket 2025.

Le premier match à domicile

Après une campagne 2023 mi-figue mi-raisin en Eurobasket, l’équipe de France féminine doit entamer un nouveau chapitre de son histoire. En effet, la France accueille la Lettonie pour la première journée des qualifications pour la prochaine édition de l’Eurobasket, qui se tiendra en 2025. C’est donc pour le jeudi 9 novembre 2023 qu’Helena Ciak, Marine Fauthoux et leurs coéquipières affronteront Zane Eglite, Zenta Melnika ou encore Anete Steinberga. Pour ce premier match de qualification, la France jouera à domicile à Poitiers, au sein de l’Arena Futuroscope.

Le match sera à suivre en direct à 20h30 sur les antennes de L’Équipe la chaîne. Ce premier match sera une belle opportunité pour les joueuses entrainées par Jean-Aimé Toupane de prendre la tête de leur groupe composé d’Israël, de la Lettonie et de l’Irlande.

Deuxième match en déplacement

Pour le deuxième match de qualification pour l’Eurobasket 2025, les Bleues devront cette fois-ci faire le déplacement vers Dublin, la capitale de l’Irlande. Ce second match se jouera à 18h heure française, le dimanche 12 novembre 2023. Ici encore, la rencontre sera retransmise en direct par les équipes de la chaîne de télévision française L’Équipe la chaîne. Une fois ces deux matchs terminés, il faudra de nouveau attendre novembre 2024 pour poursuivre les matchs de qualification pour la France, avec au programme une première confrontation avec l’équipe d’Israël.

Un groupe à portée de main

Sur le papier, la France est l’équipe favorite de ce groupe. Au classement FIBA des équipes féminines de basket en Europe, la France se classe actuellement à la troisième place derrière la Belgique, là où la Lettonie se place au dix-septième rang. On retrouve par la suite Israël à la vingt-troisième place, tandis que l’Irlande se classe trente-sixième seulement. Il faudra pourtant tirer des leçons de la précédente Eurobasket pour la France, qui a trébuché et a terminé à la troisième place de la compétition.

Cette performance a coûté quelques places au classement FIBA international et continental pour les Bleues. En espérant que les joueuses retiennent la leçon et ne se laisseront plus emporter par l’émotion, la France doit donc présenter un visage conquérant pour les deux prochains matchs à venir.

Pour rappel, l’Eurobasket de 2025 se tiendra du 19 au 25 juin, et se déroulera dans quatre pays différents –les pays hôtes sont d’ores et déjà qualifiés- : la Grèce, l’Allemagne, l’Italie et la République Tchèque. La finale se jouera à Athènes, en Grèce. Afin de participer aux phases finales de la compétition, les joueuses de Jean-Aimé Toupane devront terminer à la première place de leur groupe, ou à défaut faire partie des 4 meilleures équipes classées 2e.

Continuer à lire...
Cliquez pour commenter

Leave a Reply

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Basketball

Isabelle Yacoubou intègre le staff de l’équipe de France féminine U16

sport féminin

Publié

le

Après les Jeux Olympiques de Paris 2024 où elle avait tenu la place de consultante pour France Télévision, Isabelle Yacoubou fille vers la Hongrie pour accompagner l’équipe de France féminine de basketball U16. Les Bleuettes, doubles championnes en titre, sont à la recherche d’un troisième sacre européen, et Isabelle Yacoubou fait partie du voyage en tant qu’assistante-coach auprès du sélectionneur Vincent Bourdeau.

Les premiers pas dans le coaching

Après avoir porté le maillot tricolore, remportant notamment la Coupe d’Europe de Basket féminin de 2009, puis médaillée d’argent lors des JO de Londres, Isabelle Yacoubou écrit une nouvelle carrière de sa vie professionnelle. À 37 ans, l’ancienne pivot des Bleues poursuit désormais une carrière en tant qu’assistante-coach avec la sélection féminine de basket U16 de France.

En soutien à Vincent Bourdeau, Alan Brun (premier assistant) ainsi que Julie Masson, Isabelle Yacoubou contribuera aux succès futurs de la nouvelle génération de basketteuses françaises. Cela commence par la Coupe d’Europe U16 de basket féminin qui se tient du vendredi 16 août au samedi 24 août.

Isabelle Yacoubou victorieuse avec les Bleuettes

Cette année, la Hongrie accueille l’Euro Basket féminin U16, la compétition espoir du basket féminin en Europe. 16 nations s’engagent dans une course à la conquête du toit de l’Europe, espérant ainsi succéder à la France, double tenante du titre. Les Bleuettes, coachées par Vincent Bourdeau, ont hérité du groupe B avec le pays hôte la Hongrie, aux côtés d’Israël et de la Grèce.

Pour ses premiers pas en tant que coach assistante, Isabelle Yacoubou ne pouvait pas rêver mieux qu’une victoire en match d’ouverture. En effet, la France s’est facilement imposée 71-40 face à la Hongrie vendredi 16 août. Lancées sur un bon rythme, les Bleuettes n’ont laissé aucune chance aux Grecques et remportent leur deuxième match 69-29 qui s’est tenu le lendemain. Enfin, la dernière journée de phase de poule s’est aussi conclue sur une large victoire de la France sur Israël, 82-45.

Prochaine étape pour les Bleuettes et Isabelle Yacoubou, une confrontation face à la Suède ce mardi 20 août à 13h en huitième de finale de l’Euro U16 de basket féminin. En cas de succès, Thelma LERAY et ses coéquipières devront affronter l’équipe victorieuse entre la Slovénie et la Serbie pour une place en demi-finale de la compétition.

Après la sélection, en club

En plus de faire partie du staff de Vincent Bourdeau à la tête de l’équipe espoir féminine de France, Isabelle Yacoubou a également signé pour faire partie de l’effectif du club de basket de Tarbes. Son club de cœur a accepté le retour de « Baby Shaq » en tant que membre du staff, et officiera tout au long de la prochaine saison de LFB. Sous le maillot du TGB, Isabelle Yacoubou a remporté le Championnat de France de basket féminin en 2010, avant de s’illustrer de nouveau en remportant l’EuroLigue, cette fois avec le club espagnol de Valence.

En tant que joueuse, Isabelle Yacoubou a aussi remporté l’EuroCup en 2022, le Championnat d’Espagne en 2012, le Championnat d’Italie à quatre reprises (au même titre que la Coupe d’Italie), et a remporté deux médailles d’argent au Championnat d’Europe en 2013 et en 2015.

Continuer à lire...

Basketball

Jean-Aimé Toupane explique ses choix pour la pré-liste des Jeux Olympiques

Publié

le

Par

Il y a moins d’un mois, Jean-Aimé Toupane a annoncé la pré-liste de l’Équipe de France féminine de basketball pour les Jeux Olympiques 2024 de Paris. Il a notamment fait certains choix forts. 

 

Réaliser une liste de joueurs/joueuses pour une compétition comme les Jeux Olympiques n’est jamais simple pour un coach. Jean-Aimé Toupane a réalisé certains choix forts dans sa pré-sélection l’Équipe de France féminine de basketball. Mais il a déclaré qu’il assumait ses choix. « On ressent l’importance de l’évènement au fil des jours qui défilent. La liste a été mûrement réfléchie avec de nombreux échanges avec mon staff. Cela n’a pas été facile de prendre des décisions mais elles l’ont été dans l’intérêt de l’Équipe de France pour avoir la meilleure équipe possible. Même si un coach travaille avec un staff, au final il doit prendre la décision. Et j’assume les choix qui ont été pris. Cela ne s’est pas fait du jour au lendemain. Depuis des mois on observe, on évalue et beaucoup de facteurs m’ont permis de prendre les décisions. Nous sommes sur une préparation longue et nous ne sommes jamais à l’abri des blessures. On veut également des données objectives sur les joueuses et voir comment elles vont vivre ensemble. On réduira au fil des blocs mais dans ma tête, l’équipe finale, à deux joueuses près, est dans ma tête. »

Il a expliqué également les raisons de certains choix. « Ce qui est important dans ce métier c’est de comprendre pourquoi on perd quand ça arrive et pourquoi on gagne. Cela offre un éclairage différent pour aboutir à certaines décisions. Le groupe se construit en fonction du profil des joueuses, leur complémentarité. Ce qui m’a guidé c’est la dynamique, l’état de forme, les performances. Et bien sûr le TQO a pesé car on a vu que l’équipe avait une bonne alchimie, sur le terrain comme en dehors. »

Continuer à lire...

Basketball

JO 2024 Basket Ball : Marine Johannès  « Aux JO, on veut une autre couleur de médaille »

sport féminin

Publié

le

Quelques semaines nous séparent désormais du lancement officiel des Jeu Olympiques de Paris 2024. Unies derrière l’objectif de remporter une médaille à domicile, toutes les sélections tricolores peaufinent les derniers détails de leur entraînement. Du côté de l’équipe féminine de basket, on ne se contentera pas d’une simple médaille, et les joueuses sont bien décidées à remporter la médaille d’or devant le public français. Marine Johannès s’exprime sur son retour avec les Bleues et ses ambitions de médaille pour les JO de Paris 2024.

Double interview avec Marine Johannès et le coach Alain Weisz

Mercredi 5 juin 2024, la Fnac Saint-Lazare recevait en interview l’ancien joueur reconverti en coach Alain Weisz et la meneuse de jeu de l’équipe de France féminine de basketball Marine Johannès. Si le premier expliquait sa philosophie de jeu au poste d’entraineur, la seconde s’est surtout confiée sur  son retour en équipe de France et ses ambitions pour les prochains Jeux Olympiques de Paris 2024.

Comment vous sentez-vous physiquement ?

« Ça va, je suis enfin sortie de mon protocole commotion. C’était un peu long mais j’ai eu le feu vert il y a trois semaines pour reprendre progressivement. Ça fait maintenant trois grosses semaines que je m’entraîne avec beaucoup de physique, beaucoup de cardio, et beaucoup d’entraînement. Je suis contente de pouvoir enfin retoucher le ballon, de reprendre des sensations, et d’être là, tout simplement. »

Comment s’est passée votre mise à l’écart de l’Équipe de France quand vous êtes partie aux États-Unis ?

« Cela a forcément été une période difficile, mais au final plus courte que ce que les gens ont vécu. Après la saison avec Lyon, j’ai pu partir directement à New York (où) je me suis entrainé vingt-quatre heures après. C’était une nouvelle équipe, un nouveau staff, donc complètement différent de Lyon, et très différent de l’Équipe de France. (…) Après tout cela, on a beaucoup échangé avec Aimé Toupane (actuel coach et sélectionneur de l’équipe de France féminine de basket), avec Celine Dumerc (General Manager de l’équipe féminine de basket de France), avec Jean-Pierre Siutat (Président de la FFBB). Maintenant, on est d’accord sur le fait que l’on veut juste passer à autre chose. On veut juste penser aux JO, car on sait que c’est l’objectif premier. »

À quel point votre expérience aux États-Unis vous a-t-elle fait évoluer dans le basket et en dehors ?

« J’ai surtout grandi et mûri depuis quelques années. La vie là-bas est un autre monde, tu dois être un peu plus « perso », tu te débrouilles un peu plus toute seule dans la vie de tous les jours. On ne fait pas grand-chose en équipe, il faut trouver un resto à chaque déplacement, plein de petites choses sont différentes de la vie en club en France, ou en équipe de France. Et jouer avec des joueuses aussi fortes, comme Breanna Stewart que j’ai la chance de voir tous les jours, ça te fait grandir et voir le chemin où tu dois aller. »

Quels sont les objectifs ?

« Depuis qu’Aimé (Toupane, le sélectionneur) est arrivé, c’est le discours de la fédération. Même quand on a été invitées à l’Élysée par le président, on a tout de suite senti qu’aux JO, c’était la médaille ou rien. On le sait depuis des années maintenant. Pour les filles qui étaient à Tokyo, on veut une autre couleur de médaille (les Bleues avaient décroché la médaille de bronze). Et on sait très bien l’importance d’un podium pour la fédération. »

Continuer à lire...

Tendance