Connect with us

Dossier

Tour de France femmes résumer de la première étape et les étapes à suivre

sport féminin

Publié

le

Le Tour de France Femmes démarrait ce lundi 12 août 2024. Comme le veut la tradition, le mythique Grand Départ de la compétition se déroule dans une ville en dehors de la France. Pour cette 3e édition de la course, les coureuses des différentes équipes se sont élancées depuis la ville de Rotterdam, aux Pays-Bas. La première étape a été remportée par une locale, Charlotte Kool qui devance Anniina Ahtosalo et Elisa Balsamo.

Un Grand Départ sur les chapeaux de roue

Le Grand Départ du Tour de France femmes s’est déroulé ce lundi 12 août 2024 depuis la ville de Rotterdam, aux Pays-Bas. Les nombreuses équipes engagées dans cette troisième édition du Tour avaient pour point d’arrivée la ville de La Haye, soit un parcours de 123 km. Après un départ lancé vers 12h47 depuis Rotterdam, une première attaque a été observée au km 19, avec un trio d’échappé formé par l’Espagnole Iurani Blanco (Laboral Kutxa-Fundacion Euskadi), la Polonaise Agniezska Skalniak-Sojka (Canyon//Sram Racing) ainsi que l’Italienne Gaia Masetti (AG Insurance-Soudal Team).

Mais le peloton reviendra à hauteur de cette échappée en 4 km seulement, et il faudra attendre un raid solitaire d’une autre Italienne Cristina Tonetti (Laboral Kutxa-Fundacion Euskadi) au km 79 pour revoir un peu d’action. Une audace récompensée, car elle repart de cette première journée avec le maillot à pois en gravissant en solo l’ascension au Maasdeltatunne, avant de se faire reprendre par le peloton.

Après quelques abandons, une chute massive coupe en deux le groupe compact, offrant l’opportunité à quatre coureuses de s’illustrer en échappée : Agnieszka Skalniak-Sojka (Canyon), Gaia Masetti (AG Insurance) et Iurani Blanco (Laboral Kutxa), Charlotte Kool (dsm-firmenich PostNL).

La victoire au sprint

Les attaques s’enchaînent et se ressemblent, avec des échappées et une remontée tardive du peloton. Tout se jouera donc au sprint final avec en tête du peloton Demi Vollering, vainqueure sortante du Tour de France femmes, aidée par sa coéquipière Lorena Wiebes. Cette dernière profite de l’excellent travail de sa compatriote pour s’élancer, mais elle déraille, et dit adieu à ses chances de victoire.

Derrière, c’est l’autre Néerlandaise Charlotte Kool qui s’impose au sprint et devance respectivement de 4’’ et de 6’’ ses poursuivantes : Anniina Ahtosalo (Uno-X Mobility), Elisa Balsamo (Lidl – Trek). Charlotte Kool enregistre ainsi sa première victoire d’étape en Tour de France femme, sur un temps de 2h47’40. Mieux encore, elle se pare du Maillot Jaune ainsi que du Maillot Vert en devançant l’autre grande favorite de cette 3e édition Marianne Vos (Visma Lease a Bike).

La première Tricolore, Cédrine Kerbaol de chez CERATIZIT – WNT Pro Cycling Team, termine la première étape du Tour de France femme 2024 à la 20e place seulement, reléguée à 10’’ de la Néerlandaise Charlotte Kool.

Les épreuves à suivre

La deuxième étape du Tour de France femme 2024 se tiendra ce mardi 13 août, et reliera Dordrecht à Rotterdam, pour un parcours sprint de 69,7 km. S’en suivra la troisième étape qui sera un Contre-la-montre de 6,3 km, toujours dans la ville de Rotterdam.

Continuer à lire...
Cliquez pour commenter

Leave a Reply

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Dossier

la Fifa envisage d’élargir la Coupe du monde féminine

sport féminin

Publié

le

Au vu de l’engouement que connait actuellement le football féminin, on peut s’attendre à un développement des compétitions internationales. Les instances telles que la FIFA ou l’UEFA mettent les bouchées doubles pour soutenir la croissance du football, notamment en proposant de nouveaux formats pour certains rendez-vous mondialement suivis. Ainsi, la FIFA envisage d’élargir le format de la Coupe du Monde, passant de 32 à potentiellement 48 nations participantes.

Une nouvelle réforme

On se souvient tous de la « petite » révolution qu’a connue le monde du football féminin en 2023 avec le passage d’un format de 24 à 32 équipes participantes lors de la Coupe du Monde en Australie et en Nouvelle-Zélande. Fort du succès du nouveau format de la compétition, la FIFA envisagerait de refaire le coup pour les prochaines éditions, comme l’indique le journal The Athletic. Selon les informations révélées ce mercredi 4 décembre, la plus haute instance du football mondiale serait « ouverte » à une nouvelle refonte du format de la Coupe du Monde féminin, passant ainsi de 32 équipes participantes à 48.

Si ce projet vient à se concrétiser, alors le mondial féminin s’alignerait avec le nouveau format de l’édition masculine de 2026, qui se tiendra en Amérique du Nord – coorganisée par les États-Unis, le Canada et le Mexique. Plus tôt déjà dans l’année, Gianni Infantino avait déjà mentionné subtilement le sujet à l’occasion du Congrès de la FIFA qui s’est tenu à Bangkok, déclarant qu’il « travaillerait dessus ».

Pas avant 2031

Toujours selon le média américain, le projet serait en bonne voie d’être adopté, avec le soutien de plusieurs associations membres de la FIFA. « Plusieurs sources au courant de la réflexion de l’instance dirigeante, non autorisées à parler publiquement, ont informé The Athletic qu’elle (FIFA) était ouverte à la possibilité d’aligner le nombre d’équipes sur celui du tournoi masculin, qui a été porté à 48 pour la Coupe du monde 2026 aux États-Unis, au Canada et au Mexique », peut-on lire dans l’annonce faite par The Athletic.

Néanmoins, l’information doit encore se conjuguer au conditionnel puisque ce nouveau format ne pourra entrer en vigueur lors de la prochaine Coupe du Monde féminine de 2027 qui se tiendra au Brésil, et qui marquera la 10e édition de la compétition. Au plus tôt, cette Coupe du Monde féminine à 48 nations participantes pourrait voir le jour à l’occasion du Mondial 2031, dont l’organisation n’a pas encore été abordée par la FIFA. Les seules informations disponibles autour de ce prochain rendez-vous du football mondial féminin concernent la potentielle candidature conjointe des fédérations américaines et mexicaines pour accueillir l’événement.

De même, l’Angleterre ainsi que le Japon sont en bonne position pour présenter leur candidature et ainsi organiser ce Mondial de football féminin 2031 au format XL avec 48 nations participantes.

Avec ce nouveau format, la Coupe du Monde féminine pourrait voir son audience encore grimper, à l’instar du dernier mondial ou près de 2 millions de téléspectateurs ont suivi l’événement depuis les gradins des stades australiens et néozélandais, contre un peu plus de la moitié lors de la précédente édition de 2019 qui s’était tenue en France.

Continuer à lire...

Dossier

Euro handball : Marine Dupuis intègre le groupe des Bleues

sport féminin

Publié

le

Les meilleures choses prennent (très souvent) du temps, et Marine Dupuis peut désormais en témoigner. À 32 ans, l’ancienne joueuse de Nantes intègre pour la première fois l’effectif des Bleues en handball, et participera ainsi à sa toute première compétition internationale dans le cadre du Championnat d’Europe 2024.

Marine Dupuis en renfort

C’était la mauvaise nouvelle pour les Bleues lors du dernier match du tour préliminaire de ce Championnat d’Europe de handball féminin 2024. Durant le match contre le Portugal, remporté 28-16 par la France, Coralie Lassource avait dû sortir après avoir subi une blessure à la cheville. Mardi, le staff de l’équipe de France s’était donné du temps pour évaluer la situation, maintenant donc la joueuse de Brest dans la liste des joueuses participant aux deux premiers matchs du tour principal – qui se tiennent ce jeudi et vendredi, en Hongrie-.

Ce mercredi 4 décembre, la décision a été prise concernant l’arrivée de Marine Dupuis : « Appelée en renfort par Sébastien Gardillou, elle fait officiellement son entrée dans le groupe des vingt joueuses disponibles pour chaque match qui arrive à l’Euro 2024 ». Une première donc pour l’ailière jouant à l’OGC Nice, et qui découvre à 32 ans sa toute première compétition internationale avec la sélection tricolore emmenée par Sébastien Gardillou.

Un long périple avant et durant l’Euro

Suite à cette annonce, Marine Dupuis a dû faire rapidement ses bagages pour entamer un long trajet depuis la France jusqu’en Hongrie, où se déroule la suite de l’Euro de handball féminin 2024. En effet, de la Côte d’Azur, la joueuse de l’OGC Nice a tout d’abord embarqué pour la capitale française, avant de prendre un vol direct pour Budapest. De là, trois heures de route l’attendaient pour rejoindre l’effectif des Bleues qui séjourne à Debrecen, ville dans laquelle se tiendra le tour principal de cette compétition. Mais le plus dur reste à venir pour la joueuse de 32 ans qui devra se mettre rapidement dans le bain et participer aux deux matchs de suite des Bleues, pour ses premiers pas en Championnat d’Europe.

Ainsi, ce jeudi 5 décembre 2024, Marine Dupuis devrait entrer en jeu face à la Roumanie, puis face au Monténégro le lendemain. De plus, dans ce groupe 1 du tour préliminaire, la France devra se défaire tour à tour de la Suède le 8 décembre puis de la Hongrie le 10 décembre (pays hôte). La Pologne complète les 6 pays qui composent ce groupe 1. Il reste donc encore beaucoup de matchs à jouer pour les Bleues avant d’espérer se qualifier pour les phases finales de ce Championnat d’Europe de handball féminin.

La Norvège dans le groupe 2

Dans l’autre groupe, les Championnes d’Europe en titre norvégiennes héritent d’un groupe tout aussi relevé que celui des Françaises. En effet, la Norvège devra se battre dans un groupe composé des Pays-Bas, du Danemark, de la Suisse, de la Slovénie et de l’Allemagne. Pour rappel, seules les deux premières nations de chaque groupe participent aux demi-finales de la compétition, qui se tiendront le 13 décembre 2024, à Vienne en Suisse. La finale ainsi que le match pour la troisième place se tiendront quant à eux le 15 décembre, toujours à Vienne en Suisse.

Continuer à lire...

Dossier

Résultat France-Espagne

sport féminin

Publié

le

La France a décidément trouvé sa bête noire, en concédant une nouvelle défaite face à l’Espagne, pour le compte de la quatrième et dernière journée de cette campagne de préparation. Au stade de l’Allianz Arena de Nice, les Bleues n’ont pas trouvé de solutions pour déstabiliser le collectif bien huilé des Championnes du monde en titre, et se sont logiquement inclinées 4-2. Mais il reste des bonnes choses à retenir de cette défaite.

Une fébrilité défensive

Les matchs se suivent et se ressemblent pour les Bleues. Face à de grandes équipes, l’équipe de France féminine de football semble toujours en difficulté et n’arrive pas à maintenir ses buts inviolés. Pour preuve, ce mardi 3 décembre pour le compte du dernier rassemblement de l’année, Wendie Renard et ses coéquipières ont concédé une lourde défaite 4-2 face à l’Espagne.

C’est la deuxième fois cette année que la Roja prend le meilleur sur les Bleues, après avoir remporté en début d’année la Ligue des Nations en s’imposant 2-0 face à la sélection tricolore. Dans ce « match retour », tout est partie très vite : 6e minute de jeu, ouverture du score par Aitana Bonmati 1-0 ; 23e minute, frappe de Claudia Pina pour le 2-0 ; 37e minute, but contre son camp de Vicki Becho pour le 2-1; reprise ratée de Sakina Karchaoui avant la pause. Au retour des vestiaires, c’est une nouvelle fois l’Espagne qui ouvre les hostilités avec une superbe reprise de Lucia Garcia à la 60e minute. Kadidiatou Diani parvient à réduire le score 11 minutes plus tard, permettant à la France de remonter à 3-2.

Alors que les Bleues avaient été requinquées par ce deuxième but, une main de Kenza Dali dans sa surface provoque un penalty en faveur des Championnes du monde en titre. Le penalty est transformé par Mariona Caldentey entérine la victoire des siennes dès la 81e minute ; score final 4-2.

Du bon et du moins bon

Malgré le score qui est plus que révélateur sur l’inefficacité des Bleues aussi bien sur le plan offensif que défensif, le sélectionneur Laurent Bonadéi a tenu à relativiser : « Comme lors du premier rassemblement [en octobre], c’est toujours mitigé de finir sur une défaite. Il va falloir s’améliorer d’un point de vue tactique ». Des améliorations tactiques qui devraient également s’accompagner d’une meilleure gestion, car, à l’instar de l’Espagne privée de plusieurs joueuses-cadres (Jenni Hermoso, Alexia Putellas, Salma Paralluelo, Irene Paredes), l’ancien adjoint d’Hervé Renard a lui aussi dû composer sans la présence de certaines joueuses expérimentées, pour ne citer qu’Eugénie Le Sommer (touchée au genou).

De même, la sortie sur blessure d’Estelle Cascarino à la 84e minute n’arrange pas les frais du sélectionneur. Néanmoins, les joueuses sont loin d’être démoralisées et ont conscience du progrès qu’il leur reste à faire avant d’entamer la nouvelle année. « C’était trop facile pour elles en première période. Il y a des réajustements à faire. Ce sont des matchs où l’on doit apprendre. Il faut continuer à travailler », confirme la capitaine Wendie Renard.

Après 2 victoires et 2 défaites lors des 4 dernières rencontres amicales, la France doit réagir et trouver la bonne formule avant d’entamer la Ligue des Nations à partir de février 2025, puis l’Euro durant le mois de juillet 2025.

Continuer à lire...

Tendance